Report de la cinquième édition du Festival du Sahel

Report de la cinquième édition du Festival du Sahel

C’est avec regret que nous apprenons le report au mois d’avril 2015 de la cinquième édition du Festival du Sahel (initialement prévue pour le mois de novembre) ; la conjecture particulière de l’Afrique de l’Ouest en étant la cause.

Chaque année depuis 2009, avec une exception en 2011, le succès éclatant du Festival du Sahel se tenant dans les dunes du désert de Lompoul nous a habitués à ce grand moment d’échanges, de brassage culturel, de communion et de confraternité. L’événement, d’une durée de trois jours, est rapidement devenu l’un des plus important rendez vous de la musique et de la culture sahélienne au monde

La programmation du festival retient au moins 6 groupes dans sa programmation IN (trois groupes se produisent le vendredi et les trois autres le samedi). Au minimum quatre groupes sont issus des pays du Sahel (Algérie, Burkina Faso, Cameroun, Erythrée, Guinée, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, Tchad, Sénégal et Soudan). 

Lors de la précédente édition, en 2013, 2 500 festivaliers avaient  pu écouter 120 artistes dont la prestation avait été relayée par neuf chaînes de TV et une cinquantaine de journalistes.
Mais le Festival du Sahel n’est pas uniquement un spectacle réunissant ponctuellement des artistes sur scène face à des spectateurs. C’est également, et par sa nature, une plate-forme de développement de projets sociaux favorisant :

  • l’émancipation et le soutien des populations (mise à la disposition des populations d’informations relatives aux projets de développement, de microcrédits, aux services ou initiative d’échange solidaire),
  • le bien être et la santé, grâce à la mise en place d’un bloc médical (permettant de faire des visites médicales simples), de traiter les affections courantes et de diagnostiquer les affections typiques des pays du Sahel.

Nous souhaitons donc aux organisateurs et sponsors de l’événement tout le succès possible pour cette prochaine édition.

http://www.festivaldusahel.com/
Crédit photo : Romain Laurendeau

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